De masques diaphanes qui se calibrent,
s’enflamme le voile qui les séparait,
s’accommode un nouvel ordre de pouvoir-pensée,
qui jaillit de l’incommensurable jusqu’au point nommé.
Ça se connecte fort en zip clip de synaptiques-branchées.
Bizarrement il devient impossible de savoir comment au feu d’un éclair-pensée.
Il s’advient une possible entendue qui chuchote à l’oreille interne.
Que dire quand on pense à la place de dire, c’est-à-dire, crier sa cervelle ?
Phase d’attaque du principe-Oreille
qui s’étend jusqu’à l’infini des possibles
et qui épanche sa soif dans l’entendue,
sans que ne louvoie l’échange que l’on a eu…
Subreptice entrevue,
de quelques esprits en symbiose,
ou perception d’un infime grandiose,
qui s’étend par-delà la vue ?
Il semblerait qu’il y ait quelque chose qui dans l’impossibilité se rue…
Mais que dire des signes ambigus
qui semblent se racoler au socle de la terre,
et qui pourtant ne sont que des voiles réfractionnaires…
Mais que reflètent les voiles alors ?
L’étendue des possibles ou le concaténé-être ?
Il semblerait qu’il y d’autres ouvertures,
d’entre lesquelles s’aventurer ?
Il s’agirait d’une espèce de déformant miroir,
qui replié sur lui-même enferme en labyrithiques,
mais qui d’autre que le maître lui-même cassant la brique,
peut en retrouver la trace-lumière d’une quelconque sortie ?
L’os est pourtant logique,
déboitement en une telle claque qu’on s’en remet à l’oeil.
Claquer le bref, inciser la matière-rêve et trancher le réel.
La cisaille est coupante et elle est vive, mais l’emporte souvent.
Ainsi les fous dialogues de l’infini-onirique,
se jaillissent mais ne s’écoutent que d’une seule oreille,
car leurs enseignements sont profonds et solennels,
mais parfois tissés de miroirs illusoires.
Néanmoins ne jamais oublier
que les timbres occultes ont un rôle
et que jamais il ne semblerait
Qu’il faille les extraire pour s’en débarrasser.
Bien au contraire !
Il importe d’entre-ouvrir les portes en temps voulus,
d’en refermer à clef double l’instant d’après
sans être en quête d’un encore.
C’est une danse bienfaisante,
que celles de ces esprits-fantômes de l’oreille-racine,
qui extraient le suc,
de la pierre flamboyante.
N’oublions jamais plus qu’il n’importe
que ces réfractions sont une lanterne et fort éclairage
sur nos désirs fantasmagoriques ou tréfonds de peur gluante
et qu’il s’agit de choisir la voie juste pour expugner cette masse incompréhensible.
L’oreille et la vue ainsi peuvent se compléter
en achever une oeuvre transcendante
et ce processus de procréation mental
tisse le chemin pour celui qui sait manier sa tête.